Le monde est beau

Le monde émerveillé des sourires ensoleillés.

Étant sur un terrain vaste, exposant l’été.

Les frères et les sœurs sont, salivés

Par la grandeur du globe et sa beauté !

 

Interagir, trouver les attractions, réactions.

Combler les rêves ainsi qu’notre imagination.

Cesser les guerres, enclencher la dévotion,

Démontrer nos atouts, sur la piste en chanson.

 

Les violons sont, vraiment violents.

Et pourtant y’a pas d’violence c’est plutôt envoûtant !

J’aperçois des yeux délirants, des regards alléchants.

Tous les sens sont au menu avec acharnement.

 

Le charme pour sa part lui, est dans son élément

L’euphorie elle, distraite, dans son campement.

L’air est tout simplement rafraîchissant,

Le compromis promet de changer mais reste divertissant !

 

Refrain :

Le monde est beau, le monde est beau.

Faut regarder au d’là d’la misère.

Le monde est beau, le monde est beau.

Faut s'éloigner de tout’ ces vipères.

 

Voué à la défaite totale, le mépris change de canal.

La distraction émet un rugissement bestial.

Jure d’être au rendez-vous avec un sens critique.

Les femmes sont magnifiques, c’est vraiment magique.

 

Les regards, fléchissent partout autour de nous,

Les ébats eux, sont de plus en plus fous.

La frustration est néfaste, parce qu’la peine s’efface,

Le doute part en reconnaissance et laisse pas d’traces.

 

Les belles courbes s’attisent, la banalité dégrise.

Le malheur lui, est en état de crise.

Étant donné la joie qui elle jamais ne s’épuise,

Le temps est merveilleux, sur le gâteau la cerise !

 

 

Détruire le pessimisme, s’enflammer d’charisme.

On n’a pas l’temps d’être triste, parce qu’on prend des risques.

À la chasse aux frasques,  on s’précipite,

Attention aux précipices, sur la corde raide, on fait des sacrifices.

 

Refrain :

Le monde est beau, le monde est beau.

Faut regarder au d’là d’la misère.

Le monde est beau, le monde est beau.

Faut s'éloigner de tout’ ces vipères.

 

Présence continuelle avec l’amabilité.

Essentiel de s’amuser, le maximum toujours le donner.

La stabilité est prête à s’installer, c’est pas c’que l’on veut,

On joue avec le feu, le vent dans les ch’veux !

 

La beauté du monde n’est plus superficielle.

On met l’emphase sur les relations interpersonnelles.

Prend ton carnet d’adresse et fais quelques appels.

On s’en va tripper au parc, «faque» amène des chandelles.

 

On risque de r’venir vraiment très tard.

Les conversations valent plus cher que l’or,

S’éternisent et s’terminent aux heures où s’lève l’aurore,

Avec le temps, ça prend d’l’ampleur et s’change en destin.

 

C’qui fait la différence c’est les p’tites attentions.

Salutations à ta mère, ton père pi l’reste d’la maison.

Embrasse ta femme et compose lui une chanson.

Aujourd’hui, attend pas d’main évite la procrastination !

 

Refrain :

Le monde est beau, le monde est beau.

Faut regarder au d’là d’la misère.

Le monde est beau, le monde est beau.

Faut s'éloigner de tout’ ces vipères.